Parcours de sculptures
Du 08 juin au 08 novembre dans notre belle ville !
Depuis 2012, le Hangar et ses partenaires institutionnels et privés vous proposent une exposition parcours en plein air d’environ 1 km.
Cette année, l’itinéraire relie la nouvelle place Sepmanville ( derrière l’Hôtel de ville ) au jardin botanique. Une seule modification , l’oeuvre Totem prévue à la Gare SNCF a du être déplacée sur les berges de l’Iton place de l’Hôtel de ville.
6 installations et 8 sculptures pérennes, jalonnent la balade. sous le signe de la couleur et de la monumentalité avec un focus sur la rivière l’Iton.
Découvrez l’exposition seul, en famille, entre amis, collègues jusqu’à l’automne. Des cartels sont à votre disposition prés des œuvres pour vous renseigner sur le travail des artistes.
Les visites accompagnées sont en suspens.
Trois sculpteurs dont une artiste normande ont été invités en 2020. Pedro Marzorati, Cyrille André et Elodie Boutry.
LES ARTISTES
PEDRO MARZORATI
L’artiste argentin réalise des installations poétiques de land art en relation avec les changements climatiques. Ses projets sont fondés sur la réinterprétation de la nature, le détournement d’objets et des codes qui nous sont connus. Il cherche à changer la perception que nous en avons pour jouer avec eux dans un monde imaginaire.
L’artiste vous propose plusieurs œuvres sur le parcours, une œuvre en deux parties « les nouveaux chemins » au Miroir d’eau et rue du Dr Lerat, la sculpture « En même temps » place Sepmanville et une sculpture Promenade Charles II de Navarre.
CYRILLE ANDRE
L’artiste faisait partie de l’équipe des artistes de la biennale de 2018. Son œuvre « Bâtisseur de Cathédrale I » a été acquise par la ville d’Evreux en 2018, vous pouvez la retrouver place Mandle prés de la poste. Pour l’édition 2020, l’artiste vous propose une œuvre très poétique « Mémoire d’eau » une baleine blanche à découvrir dans les arbres du jardin botanique.
Cyrille André s’interroge sur l’humanité, sur notre place dans la société, ainsi que sur la teneur et la qualité des relations humaines. Il s’efforce d’approcher au plus près de ce propos universel en une gestuelle minimale en s’attachant à l’essentiel de la forme pour y ébaucher une œuvre souvent monumentale.
ELODIE BOUTRY
L’artiste normande appréhende la peinture comme vecteur de stimulation et de plaisir rétinien. La débarrassant de ses supports traditionnels, elle projette des couleurs franches, des lignes brisées aux angles aigus qui viennent envahir le paysage, en questionnant la frontière entre peinture et sculpture.
L’artiste vous propose l’installation « Ikosa », promenade Robert de Flocques et la sculpture.